Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap pour vous aider à y voir plus clair.

Emmanuel Macron se rend au chevet d’un Pas-de-Calais sous les eaux
Victime depuis plusieurs jours d’inondations dévastatrices, le Pas-de-Calais va avoir ce mardi la visite d’Emmanuel Macron. Le chef de l’Etat est attendu au chevet du département à 11h30. Pour exprimer « son soutien et celui de la Nation tout entière aux habitants touchés par les épisodes de crues successifs ainsi qu’à l’ensemble des forces de secours mobilisées », il sera accompagné du ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau, du ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, et de la ministre déléguée aux PME, Olivia Grégoire. La visite présidentielle se fait alors que les habitants se préparent à une nouvelle montée des eaux. Le Pas-de-Calais est en effet encore ce mardi en vigilance orange crues, comme six autres départements (Nord, Vendée, Charente-Maritime, Jura, Doubs, Vosges), et pluie-inondation.
Résultats « inquiétants » des évaluations en français et maths en 4e
Gabriel Attal tire le signal d’alarme sur le niveau des collégiens. Lundi, le ministre de l’Education a effet qualifié d'« inquiétants » les résultats en français et en mathématiques des évaluations nationales passées en classe de quatrième en septembre. Il a donc promis des « mesures fortes » sur le collège début décembre. « Le risque, si on ne fait rien, c’est que notre collège tombe en panne », a-t-il jugé dans un entretien au Parisien. Il faut dire que ces résultats montrent qu’un « peu plus de la moitié des élèves ne lisent pas convenablement et en mathématiques, plus de la moitié ne maîtrisent pas la résolution de problèmes et la géométrie ».
L’exécutif confiant dans l’adoption du projet de loi « plein-emploi »
Les députés vont se pencher ce mardi, probablement pour la dernière fois, sur le projet de loi « pour le plein-emploi ». Après le feu vert des sénateurs, un vote positif à l’Assemblée signera en effet l’adoption finale du texte, avec ses nouvelles exigences décriées pour les bénéficiaires du RSA, fortement appuyées par la droite face à une gauche indignée. Le camp présidentiel se dit confiant avant le « vote solennel », prévu en fin de journée, sur le compromis scellé entre représentants des deux chambres. Porté par le ministre du Travail Olivier Dussopt, le texte fixe le cap d’un taux de chômage à 5 % d’ici 2027, par un accompagnement renforcé des personnes les plus éloignées de l’emploi.